Robert GARCIN

Pour mon papa, tu sera toujours là dans mon cœur. 💛😘

Pour toi mon papa adoré, à tout jamais dans mon cœur. Repose en paix, je t'aime ❤️❤️❤️ PLV

Alizée : Aujourd’hui est un jour très difficile, parce que nous sommes ici pour dire au revoir à
notre papi.
Toutes les deux, on a eu la chance immense de grandir dans le même village que nos
grands-parents. Et quand on dit “grandir”, ce n’est pas juste passer leur dire bonjour le
dimanche. Non, nous, on était chez eux vraiment tous les jours.
Ilona : Tous les midis, papi venait nous chercher à pied à l’école pour manger avec eux. On n’a
jamais connu la garderie. Le soir, si papa et maman n’étaient pas rentrés, il venait nous
chercher et on attendait avec eux. D’ailleurs, il nous raccompagnait même si papa ou
maman était disponible, juste pour partager encore un instant avec nous.
A: Puis, plus tard, au collège, il arrivait en Fiat Panda !
Toujours devant l’entrée, au plus près possible, fidèle à son poste.
Une fois, il est même rentré dans le collège pour m’attendre !
I: Quand je ratais le bus pour le lycée, il venait à ma rescousse, toujours prêt pour monter à
Digne-les-Bains. Et encore plus tard, quand on était à la fac, il nous attendait à la gare.
A: Bien sûr, il arrivait toujours en avance parce que « on ne sait jamais », et surtout, il parlait
à tout le monde en attendant.
Mais le plus important, c’est qu’on savait qu’il était toujours là pour nous, peu importe
notre âge.
I: Papi, c’était quelqu’un de pince-sans-rire. On ne savait jamais vraiment s’il rigolait ou pas
: il restait de marbre dans toutes ses blagues, et sa phrase préférée, c’était : « Elle le sait ta
mère que t’es là ? » qu’il répétait aux enfants à la sortie de l’école. Nos copains et copines
avaient peur, et nous, on se marrait.
A: Papi, il avait l’air sérieux, dur et discret, mais il faisait que des bêtises !
On a tellement de souvenirs avec lui.
Les étés à la mer, à Saint-Mandrier, sur la plage de la Coudoulière, nous avec nos
sandwichs au gorgonzola et lui, assis sur son fauteuil.
Les hivers au ski alors qu’on était encore toutes petites !
Les repas, les blagues, les habitudes…
I: Aujourd’hui, on a mal, parce qu’il va nous manquer.
Mais on a aussi envie de sourire, parce que quand on pense à lui, on pense à tous ces
moments-là.
On pense à cette enfance que tout le monde n’a pas pu avoir, et on se sent très
chanceuses d’avoir pu grandir avec quelqu’un comme lui à nos côtés.
A: Et bien sûr, dans tout ça, on pense aussi à Mamie, qui a tout partagé avec lui : les
années heureuses et les années plus difficiles. On sait que les dernières ont été
particulièrement dures, mais tu as été là jusqu’au bout, et on est très fières de toi.
On veut te dire qu’on t’aime, et qu’on est là avec toi.
Et on aimerait finir avec une phrase qu’il avait tatouée pour Mamie, et qu’on porte aussi
aujourd’hui :
A+I : Pour la vie.
A: Parce qu’on t’a aimé pour la vie.
I: Et qu’on t’aimera encore après.

L'ensemble des collègues de la Maison technique de Sisteron vous présente leurs plus sincères condoléances et sont de tout cœur avec vous dans ce moment douloureux.

Coucou ma Flo,
Je suis très triste d apprendre que mon copain nous est quitté. C'était un homme adorable.
Je pense très fort à toi à toute la famille je t'embrasse très fort.
Viviane ça copine d AXA

Quando alla Grangia arrivavate tu e Fiorita ,per me era sempre una festa . Abbiamo passato dei bellissimi momenti insieme ,anche per i miei 40 anni . Sapere che adesso non verrai più a trovarci e noi non potremmo più abbracciarti lascia un vuoto profondo .Ti voglio bene Robert ♥️